Ensemble,
finissons-en avec les
écocides.

Tous les signaux écologiques sont au rouge. L’extinction des espèces, le dérèglement climatique, les limites planétaires en grande partie dépassées, la déforestation qui nous rend de plus en plus vulnérables aux pandémies zoonotiques comme celle du Covid 19… 

Pourtant, notre droit reste inadapté à l’Anthropocène et les crimes contre l’environnement, parmi lesquels les plus graves : les écocides, restent encore aujourd'hui impunis.

Condamner l’écocide est un enjeu de justice sociale. Partout, ce sont les plus vulnérables qui sont les plus exposé·es aux pollutions et aux activités dangereuses. Tandis que celles et ceux qui ont les moyens de porter gravement atteinte à notre planète sont évidemment celles et surtout ceux qui détiennent le plus de ressources…

Nous en connaissons certains : les dirigeant·es des entreprises à l’origine de catastrophes environnementales (Tchernobyl, Fukushima, Bhopal ou encore Chevron en Equateur, agent orange au Vietnam, chlordécone aux Antilles...) qui s’en sont tiré·es sans condamnation réelle ; les 25 entreprises (publiques et privées) à l’origine de 50% des émissions de gaz à effet de serre entre 1988 et 2015, selon le Carbon Disclosure Project ; ou encore les Etats qui, bien qu’étant plus responsables que d’autres du dérèglement du climat, se refusent encore à agir...

Il est temps d’engager et de reconnaître leur responsabilité et celle de chaque personne privée ou morale (Etats et entreprises) qui portent des atteintes majeures aux écosystèmes et donc à la survie même de la planète.

Et nous ne sommes pas seul·es ! Partout dans le monde des voix s’élèvent.

En France, avec la mobilisation de la Convention Citoyenne pour le Climat, mais aussi en Suède, en Belgique, au Royaume Uni, dans les Républiques des Maldives et de Vanuatu... citoyen·nes, syndicats, partis politiques et élu·es se mobilisent pour reconnaître l’écocide, et ainsi prévenir les crises environnementale et climatique.

C’est un combat que nous devons aussi mener au sein de l'Union Européenne !

Le Président français, les gouvernements des autres Etats-membres, la Commission Européenne et les parlementaires européen·nes doivent s'engager pour inscrire l’écocide dans le droit de l'Union et porter sa reconnaissance au niveau international, notamment au sein du Statut de Rome qui définit le mandat de la Cour pénale internationale.

L'Europe est le continent des droits humains. Elle peut - et doit - une nouvelle fois marquer l’Histoire mondiale, en faisant avancer les droits du vivant, dont nous faisons partie.

Aux décideur·es de toute l'Union : il est temps de reconnaître, condamner et donc prévenir les crimes d'écocide.

AIDEZ-NOUS À FAIRE GRANDIR LE MOUVEMENT.

Partagez la pétition !

Nos idées gagnent du terrain !

xGrâce à la mobilisation de la société civile, des parlementaires de l’Alliance Ecocide, que j’ai initiée en 2020, et de tou.te.s les signataires de cette pétition, nous pouvons obtenir justice pour le vivant et enfin reconnaître, condamner et donc prévenir les écocides.

Aidez-nous à faire reconnaître l’écocide en Europe en signant la pétition.